Langue des Juifs d’Europe de l’Est, le yiddish a voyagé jusqu’au Canada avec les vagues successives d’immigration du XXe siècle. Entre racines profondes et créations contemporaines, il résonne ici dans des chansons originales portées par l’exil, la mémoire, la perte, mais aussi l’espoir, l’amour, l’humour et la tendresse. 

Le concert Tur Malka (la montagne du roi) – nouvelles chansons Yiddish du Canada explore ce répertoire vocal original dans une formule acoustique raffinée, en formule quatuor (piano, violon, violoncelle, contrebasse).

Un concert intime et vibrant, des mélodies simples et fortes, où le passé rencontre le présent dans une langue qui chante délicieusement à nos oreilles. 

Artistes : 
Alto: Elvira Misbakhova
Contrebasse, arrangements: Mael Oudin
Violoncelle : Sheila Hannigan
Piano, guitare, accordéon, chant, compositions, arrangements : Henri Oppenheim 

Partez à la découverte d’un itinéraire où chaque note devient une pause sur le chemin de la découverte de l’Autre. Les artistes célèbrent ainsi la richesse de leurs cultures respectives (perse et Mongolie), tissées comme des fils de soie, cherchant des harmonies au-delà des frontières, au-delà des distances.

Avec le morin khuur (vièle à tête de cheval) et le santur (cithare sur table), les mélodies s’entrelacent comme les chemins qui sillonnent le désert et la steppe.

Artistes : Uuriintuya Khalivan, Morin-Khuur | Sadaf Amini, santour

Siraba signifie la grande voie, une proposition de dialogue entre 3 continents…
Assistez à un concert extérieur aux traditions anciennes renouvelées du Mali, de l’Afrique de l’ouest en passant par l’Amérique du sud et l’Europe!

Musiciens : Adama Daou : balafon; Gabriel Schwartz: flûte, pandeiro; Aboulaye Koné : guitare électrique; Christian Obam : basse électrique

En pinçant les multiples cordes de son kanun, la grande cithare de Turquie, Didem Başar ouvre les portes d’un monde sonore aux éclats de cristal. Héritière d’une tradition séculaire, elle fait chanter ses 78 cordes avec une finesse et une émotion qui transcendent le temps. 
Son répertoire, puisé dans les sources de la musique turque, déploie des mélodies aux inflexions subtiles, où chaque note semble porter le parfum d’Istanbul et la mémoire de ses rives, comme un reflet de lune sur les eaux du Bosphore. 

Entre virtuosité et délicatesse, ses interprétations tissent un lien vivant entre passé et présent, invitant l’auditoire à un voyage où les résonances anciennes dialoguent avec la sensibilité d’aujourd’hui. 

Artiste :
Didem Başar : kanun

Avec Une nuit dans le jardin d’Éden, le pianiste Guillaume Martineau et le clarinettiste Gabriel Paquin-Buki nous entraînent dans un voyage où les frontières musicales s’effacent. Leur duo navigue avec aisance entre le raffinement du classique et la chaleur du folklore, ponctuant leur dialogue d’improvisations jazz et de créations originales.

Les racines vibrantes du klezmer se mêlent aux parfums envoûtants des rives méditerranéennes, tandis que des éclats de rythmes latins viennent danser sur les terres de l’Europe romantique. 

Artistes : 
Guillaume Martineau : piano
Gabriel Paquin-Buki : clarinette

Dans ce concert solo de santour (cithare persane), la musique circule entre improvisations et compositions originales de l’artiste Sadaf Amiri.
Les pièces sélectionnées pour cette soirée s’appuient sur des années d’imprégnation rythmique et mélodique porteuse d’émotions variées autour de la joie et de la tristesse, en de leurs transformations subtiles.

Le voyage passe de structures d’inspiration classique en rythmes et en mélodies traversées par des couches sonores abstraites et en développement perpétuel. 

Artiste :
Sadaf Amiri : santour

Avec La vallée des rêves, le duo Perse-Inca formé de Federico Tarazona (charango) et Showan Tavakol (kamancheh) prolongent le voyage entamé avec leur premier album Échos des montagnes.
Dans cette nouvelle étape, les cordes andines et persanes se répondent comme deux voix anciennes qui se retrouvent à travers le temps. Fidèles à l’esprit du projet initial, les artistes tissent des paysages sonores où chaque note devient un trait d’union entre deux mondes.

Entre improvisation, compositions originales et références subtiles aux traditions, ce concert  invite à un dialogue intemporel, empreint de nuances et de sensations vibrantes. 

Artistes : 
Federico Tarazona : charango
Showan Tavakol : kamancheh